Le 20 octobre, J’ai organize une formation de compostage.
Les participants étaient 10 femmes de l’Union YANTA. (Elles étaient choisies au hazard to chaque association. J’aurais préféré les femmes qui s’intéressent vraiment au compost...tans pis !)
Je pensais à réaliser cette formation depuis le début de mon séjour ici. Donc j’étais contente d’enfin l’organiser. En même temps, je m’en inquiétais vraiment car c’était la première fois pour moi d’organiser une formation moi-même.
Avant le jour de formation, le 18, j’ai demandé ‘indirectement’ aux femmes de venir au bureau pour la première rencontre et quelque préparation. C’est-à-dire que j’ai demandé au présidente de l’Union de leur passer cette information.
Par conséquent, seulement 5 femmes sont venues… (l’info n’était pas passée à toutes les femmes concernées…)
De plus, il n’y avait quasiment personne qui parlent le français… Heureusement il y avait un autre member de l’Union à côté donc je lui ai demandé de traduire mon français en dioula.
Le jour de la formation, on allait commencer à 8h.
A l’heure, il n’y avait que les même 5 femmes que le 18. Je leur avais demandé de venire 7h, une heure avant (comme ça, tout le monde sera à l’heure en general).
En attendant les autres, j’ai appris que certaines des participantes ne savaient même pas qu’elles étaient concernées pour cette formation !
Oui, je sais que c’est ma faute. Puisque l’Union est tellement grande que j’ai laissé la présidente choisir les 10 femmes et leur passer les infos tout le temps, ce qui n’a pas bien marché…
En tout cas, toutes sont venues à 10h et on a enfin commencé.
Une fois la formation a commence, elles étaient toutes sérieuses et on a eu de bons discussions sur l’assainissement de notre communauté.
Mon résumé était assez iutile car tout était écrit en français. Je me suis rendue compte de l’importance du dioula pour travailler avec les femmes. Les participants étaient 10 femmes de l’Union YANTA. (Elles étaient choisies au hazard to chaque association. J’aurais préféré les femmes qui s’intéressent vraiment au compost...tans pis !)
Je pensais à réaliser cette formation depuis le début de mon séjour ici. Donc j’étais contente d’enfin l’organiser. En même temps, je m’en inquiétais vraiment car c’était la première fois pour moi d’organiser une formation moi-même.
Avant le jour de formation, le 18, j’ai demandé ‘indirectement’ aux femmes de venir au bureau pour la première rencontre et quelque préparation. C’est-à-dire que j’ai demandé au présidente de l’Union de leur passer cette information.
Par conséquent, seulement 5 femmes sont venues… (l’info n’était pas passée à toutes les femmes concernées…)
De plus, il n’y avait quasiment personne qui parlent le français… Heureusement il y avait un autre member de l’Union à côté donc je lui ai demandé de traduire mon français en dioula.
Le jour de la formation, on allait commencer à 8h.
A l’heure, il n’y avait que les même 5 femmes que le 18. Je leur avais demandé de venire 7h, une heure avant (comme ça, tout le monde sera à l’heure en general).
En attendant les autres, j’ai appris que certaines des participantes ne savaient même pas qu’elles étaient concernées pour cette formation !
Oui, je sais que c’est ma faute. Puisque l’Union est tellement grande que j’ai laissé la présidente choisir les 10 femmes et leur passer les infos tout le temps, ce qui n’a pas bien marché…
En tout cas, toutes sont venues à 10h et on a enfin commencé.
Une fois la formation a commence, elles étaient toutes sérieuses et on a eu de bons discussions sur l’assainissement de notre communauté.
J’ai donc utilisé des images, dessins et des photos pour qu’elles comprennent mieux.
Malgré tout cela, la formation s’est bien passé, je crois. Les femmes étaient très cooperative pour la preparation de la base de compost.Pourtant, la vrai pratique commence d’ici à la maison.
Elles commenceront à mettre des déchets de cuisine et de jardin dans le sac tous les jours dès lendemain. Après une semaine, un mois et deux mois, on se réunira pour partager l’évolution de chacune, des difficultés etc.
A vrai dire, je ne suis pas sûre si ça va marcher...
Au Burkina, on n’a pas encore d’habitude de tri des ordure
Mais on devrait toujours essayer avant de tout dénoncer !
Ne rattez pas la suite de cette formation !
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