Le plus grand ennemi de l’embellissement de la ville :
sachets plastiques
Une politique très importante quand on pense à l’environnement :
3R (Refuser – Reutiliser – Recycler)
Cette politique est appliqué au Japon de plus en plus alors qu’au Burkina, elle n’est pas encore bien reconnue.
Pourtant, il y a toujours des gens qui ont de la conscience partout.
Oui, c’est l’Union YANTA.
Les femmes et filles de cette union coupaient des arbres dans les forêts classées et vendaient des bois ou du charbon pour gagner un peu d’argent, ce qui est pourtant interdit. Si on les trouvent, elles sont condamnées à une amende beaucoup plus élevée que leur revenu. De plus, la surface des fôrets ne cessait de diminuer car les gens coupaient des arbres mais ils ne plantaient pas de nouvelles.
Alors, le projet luxembourgeois leur a introduit la transformation de noix de cajou, la fabrication de savon, de beurre de karité etc pour que les femmes et filles puissent gagner de l’argent d’autres manières qu’en vendant les bois ou charbon.
Une de ces manières est le couture. Quelques filles de l’Union ont eu la formation du coutume. Maintenant elles peuvent coudre des vêtements mais aussi des éco-sacs pour encourager les gens à abandonner des sachets plastiques.
sachets plastiques
Une politique très importante quand on pense à l’environnement :
3R (Refuser – Reutiliser – Recycler)
Cette politique est appliqué au Japon de plus en plus alors qu’au Burkina, elle n’est pas encore bien reconnue.
Pourtant, il y a toujours des gens qui ont de la conscience partout.
Oui, c’est l’Union YANTA.
Les femmes et filles de cette union coupaient des arbres dans les forêts classées et vendaient des bois ou du charbon pour gagner un peu d’argent, ce qui est pourtant interdit. Si on les trouvent, elles sont condamnées à une amende beaucoup plus élevée que leur revenu. De plus, la surface des fôrets ne cessait de diminuer car les gens coupaient des arbres mais ils ne plantaient pas de nouvelles.
Alors, le projet luxembourgeois leur a introduit la transformation de noix de cajou, la fabrication de savon, de beurre de karité etc pour que les femmes et filles puissent gagner de l’argent d’autres manières qu’en vendant les bois ou charbon.
Une de ces manières est le couture. Quelques filles de l’Union ont eu la formation du coutume. Maintenant elles peuvent coudre des vêtements mais aussi des éco-sacs pour encourager les gens à abandonner des sachets plastiques.
"Protège la nature avec une emballage durable"
C’est bien joli, non ?
Mais c’est inévitable de ne pas du tout utiliser des sachets.
Si c’est le cas, on peut recycler les sachets utilisés !
Une autre association de femme, GAFREH récupèrent des sachets qu’elles ont ramassés de la rue ou dans les tas sauvages des ordures ménagères en ville.
Les sachets prennent une autre vie !
Porte-monnaie
Paniers
même les poupées !
Comme on tisse du coton, on tisse des sachets plastiques
Le résultat...
sac
Porche
On ne peut pas reconnaître tout de suite les matériaux de ces objets.
Leur technique est impréssionnante. C’est très très bien fait.
Mais le problème est leur prix
Ils sont de bonne qualité mais trop chers pour les gens locaux. En fait, même moi, je trouve que certaines choses sont un peu chères...Donc, la clientèle est les touristes étrangers.
Je compte donc de travailler avec elles en marketing pour embellir la ville, faire connaître leur « bon » travail à plus de gens, en plus leur donner plus d’opportunités de gagner de l’argent.
Le site web de GAFREH : www.gafreh.ouvaton.org
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